Le combat d'Aaron est différent de celui des autres dresseurs. Il ne jugera jamais la fougue qui les anime, ni le but qui les anime. Si, c'est d'abord un plaisir pour lui de dresser ses Pokémons, c'est aussi devenu une nécessité. Chaque semaines, il envoie une partie de son argent à l'hôpital où est interné sa mère, en phase terminale d'une maladie grave. Il se bat pour payer son traitement, pour lui permettre de vivre, tout en respectant la dernière demande qu'elle lui a fait : poursuivre ses rêves. Si aujourd'hui sa volonté de devenir un excellent dresseur est déviée par ces événements tragique, il n'en reste pas moins un grand ami de l'aventure. ♠ Le jeune Price n'a jamais connu son père, celui-ci ayant disparu peu avant sa naissance alors qu'il effectuer des fouilles dans la région de Sinnoh, sa mère avait été très attristée par cette nouvelle, même si elle connaissait les risques qu'entraînaient le métier d'Archéologue. Ainsi, elle a toujours élevé son fils seule, mais lui donnant beaucoup d'amour, ce même amour qu'il essaie sans cesse de lui rendre. Il a donc vécu dans un situation ni trop difficile, ni trop aisée. ♠ S'il y a bien une chose qu'Aaron haït, c'est la team rocket. Même si, au fond, il sait que certains de ces membres n'ont pas d'autre choix, tout comme lui. Mais leurs activités, leurs actions, il ne peut pas supporter ni cautionner ça, ainsi, il essaiera tant bien que mal de leur barrer la route quand il le pourra, quitte à se retrouver lui-même dans des situations peu agréables. ♠ Ses Pokémons sont, pour lui, bien plus que des compagnons. Le lien qu'il entretien entre lui et son équipe est puissant, même si certaines fortes têtes lui donnent parfois du fil à retordre. ♠ Bien qu'il ne désire par le dévoiler, Aaron est blessé, triste, il ressent énormément de peine. Son envie de voyager se querelle avec le besoin d'être au chevet de sa mère, et son état psychologique se retrouve fortement affecté par ça. Il devient de plus en plus impatient et colérique. ♠ La plupart de temps, le jeune homme se balade avec de la musique sur les oreilles, il aime rendre ses périples épique avec un son digne des plus grandes salles d'orchestres du monde, mais le son lui permet aussi de s'évader, de s'envoler loin de toutes ces tensions, toutes ces situations désagréables. ♠ On aurait pu le décrire comme étant un coureur de jupons, mais Aaron fait plus dans la délicatesse. Evidemment, il apprécie la compagnie du sexe féminin, mais il sera se montrer délicat et discret pour séduire, plutôt que macho, et irrespectueux. ♠ La première chose qu'il a ressenti en posant ses mains sur son Héricendre, c'était son immense fierté, il aurait voulu crier au monde "Me voilà." Mais aucun mot ne sorti de sa bouche, seulement le nom qui lui donna. "Hope." L'espoir de rendre la vie de sa mère un peu plus supportable, l'espoir de devenir l'homme dont il a toujours rêvé ! ♠ Au delà de sa volonté de devenir dresseur Pokémon, Aaron a toujours admiré les forces de Police. Il les respecte et les admire, mais ne regrette pas son choix de vie, et préfère être la personne qu'il est plutôt que la personne qu'il aurait pu être. ♠ Même si son but premier n'est pas là, il rêve de pouvoir affronter la ligue Pokémon, car à ses yeux c'est un bel accomplissement pour un parcours de dresseur, bien que cet objectif risque d'être bien dur à atteindre, il compte bien, un jour, pouvoir accomplir cet exploit. Mais pour le moment, il a autre chose à penser, il ne peut pas encore vivre pour lui même.
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
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Sam 27 Aoû - 14:16
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